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Gestion Couleurs

Contraste et voile résiduel

Comment enlever le voile résiduel d’une photo numérique ?
Quelle que soit son origine, argentique ou numérique, la qualité d’une photographie répond aux mêmes exigences.
Elle ne peut pas être considérée comme réussie sur le plan esthétique si elle ne l’est pas d’abord sur le plan technique. De ce point de vue, le contraste est un élément essentiel qu’il faut absolument prendre en considération.
En numérique, on peut avoir un bon sujet, avec une belle expression, une photo bien exposée, la problématique est la même. La qualité finale passe indubitablement par le contraste. Les logiciels de post-production proposent beaucoup de solutions pour le gérer. Or ces derniers offrent une telle multitude de fonctions qu’il est très difficile de s’y retrouver :

Argentiques : les bases du tirage couleurs

Se lancer dans le tirage couleurs avec un agrandisseur n’est pas chose simple.
Vous trouverez ici une formation complète sur les bases techniques, les diverses méthodes de travail sur un agrandisseur équipé d’une tête couleurs.
Je décris, en autres, la manière dont on réalise les essais : le principe du filtrage de base – la gestion de la densité – la méthode pour juger les dominantes d’un essai.

Comment optimiser les réglages d’une imprimante photo ?

Vous trouvez que la qualité de vos photos papier n’est pas aussi bonne que celle qui s’affiche sur l’écran de votre PC ou de votre appareil photo (par exemple, trop denses et/ou trop bleus). Vous pensez alors qu’optimiser les réglages de votre imprimante photo est un exercice très compliqué.
En réalité, celui-ci est à la portée de tous. Il suffit de respecter quelques règles fondamentales. La méthode que je vous propose dans cet article et très pragmatique, fiable et éprouvé, bien loin des systèmes de calibration, chartes couleurs, profils ou espaces couleurs.

Essai de l’imprimante Epson Surecolor P400

L’Epson Surecolor P400 est une très bonne imprimante capable de délivrer des tirages sur papier brillant de grande qualité qui n’ont rien à envier au laboratoire professionnel. Cette qualité est un peu moins bonne sur papier lustré

La gestion des couleurs (partie 2)

L’espace couleurs définit la capacité d’un système à enregistrer ou à reproduire une certaine gamme de couleurs (Gamut). L’appellation « couleurs » comporte des éléments assez divers comme les couleurs du spectre, visibles ou non, les couleurs naturelles c’est à dire celles qui nous entourent ou les couleurs artificielles, créées par l’homme.

La gestion des couleurs (1ère partie)

Cet article est la 1ère partie d’une formation sur la gestion colorimétrique qui comporte 3 grands chapitres : Les propriétés fondamentales de la couleur – Les espaces couleur – Le calibrage d’une chaîne numérique et les profils.
Cette formation aborde un sujet assez technique qui n’intéressera que les personnes souhaitant avoir une parfaite maîtrise des couleurs, notamment lorsque le résultat colorimétrique d’une photo ne correspond pas à l’original, comme par exemple :

Tirages photos : Argentique ou Jet d’encre ?

La transition du numérique débute de manière confidentielle vers 1995 avec l’arrivée des premiers appareils grand public. Vers 1999, les premières machines numériques arrivent sur le marché. Elles sont conçues sur la technologie du moment, c’est à dire le papier argentique. Année après année, la qualité de ces tirages s’améliore pour arriver à un bon niveau lorsque les premiers reflex apparaissent en 2003 (Canon 300D). Celle-ci a ensuite beaucoup évolué pour aboutir aujourd’hui à une impression de grande qualité, notamment grâce à la technologie du laser. L’argentique est considéré par beaucoup comme une référence.

Format Raw : est-ce vraiment une bonne idée ?

Aujourd’hui, en dehors des appareils numériques d’entrée de gamme, tous les modèles intègrent deux formats de fichier : le Jpeg et le Raw.
Le Jpeg est un très ancien format de fichier. Il a été créé en 1992, au tout début de la photo digitale, bien avant la révolution numérique des années 2000. Beaucoup de formats comme le Jpeg 2000 ou plus récemment le HEIF d’Apple ont essayé (ou essaye) de le supplanter.
Le Raw est le format natif du capteur, lequel est apparu, en 1980. (bien avant le Jpeg). Pendant des années, Il n’a pas été utilisé par le grand public car il n’y avait pas de logiciel pour le gérer. Aujourd’hui, tout le monde en parle, considérant souvent que c’est le négatif du numérique et que l’utiliser est absolument indispensable pour avoir des images de qualité. Le Jpeg semble donc être relégué au second rang.

De l’aquarelle au patchwork, comment respecter les couleurs ?

Comment photographier ses tableaux ? Une aquarelle, une peinture, une broderie ou autre patchwork, constituent un des exercices photographiques les plus difficiles : en cause la reproduction fidèle des couleurs qui, si elles ne sont pas globalement respectées, peuvent dénaturer le sujet. C’est l’inéluctable comparaison du résultat avec l’original qui met en lumière ces différences, celles-ci ne portant parfois que sur une ou deux couleurs seulement. Tout le problème est là !

Le blanc en photographie.

J’aborde cette question ici car elle est tout à fait d’actualité. Beaucoup de photos, mises en ligne sur Instagram, Facebook ou autre site web, souffrent d’un manque de luminosité. Elles sont comme on dit « enterrées », ce qui nuit fortement à la qualité d’affichage sur un écran.
Elles auraient un meilleur rendu si les très hautes lumières étaient les plus claires possibles.  Il est donc nécessaire de les éclaircir de manière à les amener le plus possible vers le blanc, mais attention la perte de détail produirait l’effet contraire. Il faut donc trouver la limite.

Votre photo manque d’originalité.

En général, une photo est réussie lorsque elle exprime une certaine originalité, celle-ci étant obtenu par le sujet, la qualité de son cadrage et ses couleurs. Mais parfois, lors de conditions difficiles,  cadrage et couleurs ne sont pas au rendez-vous.

Comment corriger les couleurs d’une photo ?

Intervenir sur l’équilibre chromatique d’une photo est souvent un véritable casse-tête y compris pour les professionnels car la perception de la couleur par l’œil humain est très subjective. Par ailleurs, le sujet comporte des éléments très techniques : Espace couleurs, profils, couleurs primaires et complémentaires, calibration d’une chaîne chromatique, etc. La liste est longue. Excepté une initiation aux espaces couleurs, je ne rentrerai pas ici dans la partie professionnelle. Espaces, profils et calibrations feront l’objet d’un autre article.

Effet yeux rouges : causes & solutions

Ce problème est apparu dans les années 70 – 80 avec les appareils grand public de format 110. Le concept très réduit de l’appareil a eu pour effet un rapprochement trop important du flash et de l’objectif. La très grande majorité des personnes prises au flash, de face et dans un environnement sombre, avaient les yeux rouges. Les fabricants ont du trouver rapidement une solution qui  est arrivée avec le concept du FlipFlash.
Cette barrette contenait deux séries de cinq lampes flash ; une fois les 5 premières lampes utilisées, on retournait la barrette pour utiliser les suivantes. Ce système était très efficace, le flash étant suffisamment éloigné de l’objectif.